Prend les rênes de l’école
Depuis quelques jours, une nouvelle silhouette arpente les écuries et carrières du Pôle, aux côtés des chevaux et élèves. Tout juste arrivé du Puy de Dôme, Arthur Baignères vient de rejoindre l’équipe du Pôle international du Cheval en tant que Responsable pédagogique et technique au sein de l’Ecole d’équitation.
Enseignant d’équitation titulaire du BEJEPS et du DEJEPS, Arthur a occupé, depuis une vingtaine d’années, différentes fonctions à responsabilité dans des établissements équestres, notamment de Responsable pédagogique et enseignant au Touring Club de France, à Paris, pendant plus de 10 ans.
Arthur a également enseigné l’équitation dans un Lycée agricole de la Sarthe, assurant l’encadrement des élèves en formation BPJEPS, avant de se consacrer ces dernières années à la restauration de menuiserie ancienne. Le cavalier ébéniste a plusieurs cordes à son arc pour prendre les rênes de l’école.
Arthur assurera le bon fonctionnement de l’école dans toutes ses missions : encadrement de l’équipe enseignante, coordination des cours et stages d’équitation tout au long de l’année, gestion des chevaux d’instruction. Arthur interviendra, par ailleurs, en tant qu’entraineur des Espoirs de l’Académie Delaveau. Autre volet important sur lequel Arthur sera amené à participer, le développement du Pôle sur les projets de formation professionnelle, des élèves moniteurs, BP et AE, mais aussi sur les interventions d’équithérapie et d’equicoaching. Au programme également, le développement des partenariats à l’international. Le Pôle, déjà très sollicité pour l’accueil de groupes de cavaliers étrangers pour des stages d’équitation tous niveaux, souhaite développer cette prestation sur mesure.
Ses missions sont donc nombreuses, et le défi de taille, puisqu’Arthur prend la suite d’Odile Nolet à ce poste. Passionné, dynamique et ouvert, Arthur est impatient de relever ces nouveaux défis.
Nous lui souhaitons une belle réussite en Normandie !
Anecdote : Arthur Baignères, son homonyme et aïeul, ami de Marcel Proust, a séjourné sur les hauteurs de Trouville, au Manoir des Frémonts, dont il fut l’heureux propriétaire à la fin du XIXe siècle.